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Médias et désinformation

Arrosés par millions d'euros de subventions officielles, les grands médias vantent tous une “mondialisation heureuse” à la Davos-Goldman-Sachs, à laquelle plus grand monde ne croit – sauf peut-être encore quelques milliardaires. Dans le champ d'expertise d'un criminologue, ces périodiques, sites, radios et télévisions, matraquent les trois allégations que voici : - Les “migrants” sont des malheureux fuyant la guerre et la mort. - Les Noirs américains sont victimes d'une police raciste qui les persécute bien plus que les autres races (Blancs, Hispaniques). - Terroristes et criminels ripostent à la misère et à l'exclusion qu'ils subissent. Or cela est faux. Prouvons-le (bien sûr, nos sources probantes sont à disposition de quiconque les demandera). “Les migrants gagnant l'Europe fuient la mort et la guerre” – Si c'était vrai, des familles entières fuiraient. Or une étude d'août 2016 (Wall Street Journal-Pew Research Center) établit que ces migrants dans l'Union européenne sont : - À 53 % âgés de 18 à 34 ans, - Avec, dans cette tranche d'âge, une proportion d'hommes de : (Syriens) 71 %, (Irakiens) 75 %, (Pakistanais) 76 %. (Bangladais), 76 %, (Gambiens) 80 %, (Afghans) 80 % – énorme déséquilibre établissant la migration économique, non la fuite affolée de familles entières, sous les obus et les rafales. Homicides de Noirs aux États-Unis - En 2015 (FBI), 7 049 Noirs sont assassinés aux États-Unis, dont 89,3 % par d'autres Noirs. L'âge des victimes révèle que les guerres de gangs de jeunes Noirs (Crips, Bloods, etc.) provoquent la plupart de ces homicides. Mais les médias d'information ignorent ces neuf assassinats sur dix, entre gangsters. Prenons le premier semestre 2016 : 123 Noirs abattus par des policiers (FBI), dont une moitié de cas explicables (sinon excusables) : victime armée et dangereuse… faute sincère de maniement d'arme par le policier… Bousculade d'où part un coup de feu… Policier noir donc peu suspect de racisme, etc. “Enorme déséquilibre établissant la migration économique, non la fuite affolée de familles entières, sous les obus et les rafales” Restent quelque 62 cas (odieux) où un policier tire sur un Noir désarmé, sans motif valable. Soit 1,8 % du total des Noirs assassinés. Les autres 98,2 %, les médias d'"information" les passent par perte et profit. Ces mêmes médias matraquent que le taux d'arrestation et fouilles au corps des Noirs est énorme, par rapport à leur pourcentage de la population (12,5 % de Noirs sur 320 millions d'Américains). Or cette comparaison est absurde, car on n'arrête, ni ne fouille, des bébés, des vieillards, etc. Ici, la seule comparaison valide est celle du nombre d'arrestations, par rapport à la quantité de crimes et délits vraiment commis par ethnie. Exemple, en 2014 à Chicago (derniers chiffres disponibles), les Noirs (35 % de la population) ont commis 76 % des homicides. Or cette comparaison valide, ces médias ne la font jamais. Terrorisme, crime, etc., le bobard des "Misérables" - restons aux États-Unis. Une célèbre enquête sociologique expose que, dans la décennie 1980, une vague de “boat-people” haïtiens gagne Miami (Floride). Clandestins, ces Noirs illettrés et ignorant l'anglais ont un lourd passé d'esclavage et d'exploitation. Or chez ces réels exclus, dans la pire situation possible aux États-Unis, le taux de criminalité-délinquance est fort inférieur à celui des Noirs américains, vivant au même endroit, au même moment – et bien mieux. Le terrorisme maintenant. Après le 11 septembre 2001, la Maison-Blanche veut savoir : la misère sociale génère-t-elle la terreur ? Cette explication (ou "culture de l'excuse") pourrait-elle prévenir le terrorisme ? La recherche est confiée à un prestigieux économiste, le professeur Alan B. Krueger, docteur en économie de Harvard, titulaire de la chaire d'économie de l'université Princeton et membre du renommé National Bureau of Economic Research. Elle étudie des guérillas palestiniennes ou libanaises, des terroristes juifs des territoires occupés, des terroristes allemands, italiens, irlandais, japonais, turcs, etc. Maints tableaux, dix pages de références et de sources. Conclusion : “Le lien entre pauvreté et terrorisme est aussi faible qu'indirect. À titre individuel, les terroristes ne proviennent d'usage pas de milieux pauvres. À l’inverse, ils sont souvent mieux éduqués et plus aisés que leurs contemporains” “Le lien entre pauvreté et terrorisme est aussi faible qu'indirect. À titre individuel, les terroristes ne proviennent d'usage pas de milieux pauvres. À l’inverse, ils sont souvent mieux éduqués et plus aisés que leurs contemporains. Les niveaux de terrorisme ne sont pas vraiment plus hauts dans les pays les plus pauvres ; mais les pays se développant normalement et connaissant de vives phases de modernisation fournissent au terrorisme un nombre élevé de recrues.”



06/01/2017
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